Une première soirée presque parfaite

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il y a 7 ans

Ce soir, c'est une première. C'est ma première soirée en tant que soumise de Maître Echo. Nous nous sommes décidés à passer le cap.

Cela fait un moment que nous jouons ensemble, mais ce soir, je n'ai pas le droit à l'erreur. Même si les personnes présentes ne me sont pas étrangères, je suis nerveuse. Pour l'instant, c'est un sans faute. Je fais en sorte d'être une maîtresse de maison exemplaire et une soumise encore plus exemplaire. Les invités sont servis et je suis aux petits soins pour vous. Cela fait tellement longtemps que j'attends ce moment, que je tiens autant que vous à la perfection.

Vous me rejoignez dans la cuisine en m'embrassant dans le cou et je sursaute. Vous m'ordonnez de me détendre et me dites que je suis très en beauté. Votre main caresse notre collier et je soupire de bonheur. Ma main vient se poser sur la votre et, sans savoir si je peux me le permettre (et m'en moquant un peu je l'avoue), je vous vole un baiser profond. Vous l'approfondissez, me rapprochez de vous et je fonds entre vos bras.

Mon corps réagit automatiquement à votre contact et si nous étions seul, je vous supplierai. Vous vous écartez et me demandez de vous ramener votre verre d'apéritif au salon et m'autorisant à en prendre un, si je le souhaite.

Tous le monde discute quand je rentre dans le salon. Je me dirige vers la table basse, quand mon regard est attiré à gauche. Je trébuche, heurte quelque chose et je sens plus que je ne vois, le contenu de nos deux verres se renverser.

Soudainement, il n'y a plus un bruit dans le salon. Je relève doucement les yeux, même si je sais ce que j'ai heurtée. Et comme je le craignais, je croise votre regard. Je suis tétanisée et les secondes s'écoulent sans que je ne puisse réagir. Puis, un rire nerveux m'échappe.

On vient de perdre dix degrés dans le salon. Votre regard me foudroie et votre voix tonne comme un coup de tonnerre "Et tu trouves cela drôle?". Je balbutie des mots totalement incompréhensible. Je suis tellement paniquée, que même moi, je ne comprends pas ce que je dis. Je me mets en mouvement. Et je fais une liste éclair. Poser les verres, éponger votre chemise, vous proposer la chemisette que j'avais prévu pour le cas où, vous la ramener et vous resservir un verre... J'en suis à vous proposer la chemisette, quand j'arrête la liste. Je vous précède dans la chambre.

Je suis tremblante quand je vous aide à retirer votre chemise. Une fois que vous êtes changé et au sec, je file à la cuisine et vous ramène un nouveau verre. Je retiens mes larmes. Vous vous installez sur le canapé et je m'installe à vos pieds.

Je me demande ce que vous me réservez. Je sais que mon comportement mérite une punition. Si il n'y avait personne, je serais déjà en train de la recevoir. Mais par respect, vous ne me punirez pas en public. Pas aussi durement que vous ne le feriez en privé en tout cas. Je frissonne. Je n'ai pas osé me changer, après m'être occupée de vous. Vous vous relevez et votre main passe dans mes cheveux. Elle me donne l'ordre de me relever et vous m'obligez à vous regarder dans les yeux.

"Tu es mouillée toi aussi. Tu ne peux pas rester dans ces vêtements humides. Déshabille-toi!"

Je vous regarde sans comprendre. Mon cerveau cherche à traiter l'information. Votre main se retire de mes cheveux et l'information à atteint mon cerveau. Vos yeux me fixent. J'avale difficilement ma salive. D'une main tremblante, je commence à défaire mon cache-cœur en satin noir. Je cherche votre regard, votre soutien. Je retire mon cache-cœur et le pose sur le rebord du canapé. Je m'attaque au zip de ma jupe que je retire vite. Il ne me reste que mes bas et mes talons, je baisse le regard. Un convive fait la remarque que j'ai la chair de poule et je rougis violemment. Si il a remarqué cela, c'est qu'il me regarde et je suis nue. Vous lui dîtes que cela ne va pas durer, que vous allez me réchauffer. Je relève les yeux vers vous et vous me montrez vos jambes.

Je m'approche de vous et m'installe sur vos genoux. Vous me faîtes écarter les cuisses et m'interdisez de les refermer. Je hoche la tête et vous réponds "oui, Maître".

La fessée est assez sévère et j'ai très vite chaud. Mais j'arrive à contrôler mes jambes. Votre main heurte régulièrement mes fesses, faisant naître un autre sentiment au creux de mon ventre. Tout cela, malgré la honte que je ressens d'être ainsi exposée. Au bout de cinq bonnes minutes, mes fesses sont d'un joli rouge d'après nos convives et vous arrêtez la fessée. Vos mains se font caresses sur mon dos et vous m'ordonnez de me relever. Vous vous rendez dans la chambre et vous revenez avec une laisse. Vous l'accrochez à mon collier et me dirigez vers la table basse. Vous me demandez de prendre la position 1 sur la table basse. Je vous obéis et vous vous mettez à ma hauteur.

"une table ne parle pas. Alors silence"

Puis, vous tendez la laisse devant ma bouche et je l'ouvre pour que vous puissiez l'y déposer. Vous me dites de ne pas faire tomber la laisse et déclarez que vous trouviez votre table basse trop basse, que là c'est mieux. Je sens votre verre se poser à la base de mon cou. Il y a plusieurs mains sur mon dos qui posent et prennent des choses. Je ne suis pas vraiment sereine, vous le savez. Mais, je fais cela pour vous, pour votre plaisir uniquement. Vous en êtes parfaitement conscient. Je pars en méditation, afin de recouvrir un semblant de calme. je n'aurais jamais cru, que cela me servirait dans cette situation. Je commence à me détendre, trop. Mes muscles se détendent aussi. Mauvaise idée! J'arrête ma méditation et je vous vois vous asseoir sur le fauteuil en face de moi. Votre regard est rempli d'amour et me rassure.

Quelqu'un demande la permission de toucher. Vous vous relevez et dîtes qu'ils peuvent toucher mais pas pénétrer. Ma respiration a un loupé. Je ne suis pas certaine de pouvoir rester immobile. Vous me connaissez bien et quand une main étrangère se pose sur mon intimité, la votre se pose dans mon cou. Vous savez que je ne bougerai pas si je sens votre présence et cela fonctionne.

Je m'habitue à sentir des mains étrangères me toucher. Puis, je sens une main me caresser et me pénétrer. Je suis sur le point de me rebeller, quand mon corps reconnaît vos doigts. Je me détends automatiquement et je sens votre sourire.

Après quinze minutes, vous me tendez la main. J'y dépose la laisse et vous me faîte me relever. Vous invitez les convives à prendre place à la table, puis m'envoyez mettre une robe. Vous me rejoignez dans le chambre et me dites en m'embrassant "Je suis fier de toi", puis repartez. Je vous rejoins dès que je me suis rhabillée. Le repas se passa sans accros. J'ai fait bien attention à ne pas me prendre les pieds dans quelque chose.

La soirée se termine et vous raccompagnez nos invités après les avoir remerciés. Pendant ce temps, je vais chercher la canne anglaise et retire ma robe. Quand vous revenez dans le salon, je suis à genoux, yeux baisés, les mains tendues devant moi avec la canne posée dessus. Vous vous mettez devant moi et dites:

"_ Tu peux m'expliquer

_ Je suis désolée pour mon comportement de ce soir Maître. Vous m'aviez demandée d'être aussi exemplaire que possible et j'ai réussi à vous faire honte...

_ Honte est un mot trop fort. Que veux-tu que je fasse avec cette canne?

_ Mon comportement mérite une punition, Maître.

_ Certes. Mais es-tu certaine de la vouloir?

_ Oui, Maître.

_ D'accord. Combien?

_ Six, s'il vous plaît Maître.

_Bien"

Je ne suis certaine de rien à cet instant, sauf que mon comportement mérite une sanction. Vous revenez avec une paire de menottes. Vous prenez la canne de mes mains et y déposez les menottes. Vous m'expliquez, que c'est pour éviter que je ne mette les mains sur la trajectoire de la canne. Vous m'aidez à me relever et me mettez en position, appuyez contre le mur, jambes écartées et bien cambrée. Vous me demandez de compter les coups et de vous remercier après chaque coup. J'accepte et le premier coup tombe. Porté, puissant et me coupant le souffle. Il est fait pour faire mal. Je compte et vous remercie. Les cinq autre coups, seront tout aussi puissants. Au sixième, les larmes coulent toutes seules sur mes joues et je respire de manière totalement désordonnée. Il y a six barres de feu en travers de mes fesses. Vous me retournez face à vous et retirez les menottes de mes poignets.

Vous déposez tout sur la table basse et m'entraînez dans la chambre par la main. On se met au lit et vous me prenez dans vos bras. Vos mains caressent mon corps et mes cheveux. Vous me cajolez en me disant que je suis pardonnée, mais vous me refusez la crème apaisante. Vous voulez que les marques restent et je hoche la tête. Mes larmes s'apaisent doucement.

Vos caresses se font un peu plus appuyées et vos lèvres trouvent les miennes. Cette fois, c'est moi qui approfondit notre baiser. Je commence doucement à vous rendre vos caresses. Mon corps s'embrase au contact du votre. J'appuie un peu plus mes caresses malgré mon souffle qui devient rogue. Je me cambre vers vous et je vous dis dans un souffle emplit d'amour et de désir "S'il vous plaît... Maître". Un sourire carnassier viens s'ajouter à votre regard remplit d'amour et de désir. Puis, vous accédez à ma demande en me faisant votre, alternant douceur et puissance.

Merci Maître, pour cette première soirée.

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